La cuisine japonaise a longtemps été considérée comme l’association réussie du fast food et de l’équilibre alimentaire… Avant d’être décriée quelques années plus tard nous laissant avec une foule d’interrogations devant la porte de ces multiples restaurants de quartiers.
Alors comment démêler le vrai du faux ? Suivez le guide.
Comme toutes gastronomie, la cuisine japonaise a ses points forts comme ses points faibles. Commençons par son élément central : le riz. Source de glucides complexes donc d’énergie, riches en fibres solubles régulatrices du transit, ses vertus nutritionnelles sont nombreuses. Mais, consommé en grandes quantités, il vous apportera un surplus d’énergie qui risque donc d’être stockée. D’autre part, le riz gluant est cuit longtemps ce qui entraîne une augmentation de son index glycémique à l’origine d’une absorption plus rapide. Il est également cuisiné avec un peu de sucre et de vinaigre mais les quantités restent insignifiante d’un point de vu nutritionnel.
Le deuxième ingrédient fard de cette cuisine est le poisson, et plus particulièrement les poissons gras. Riches en omega 3 et 6 garants d’une bonnes circulation sanguine et d’échanges réussis à l’intérieur de votre corps, ils le sont également en matières grasses et ne doivent donc pas être consommés quotidiennement, l’idéal étant de les consommer 2 à 3 fois par semaine.
Ceux qui n’aiment pas le poisson cru se reporteront sur les multiples brochettes à la carte. La viande et le poisson sont alors marinées avant d’être cuits ce qui augmentent considérablement leurs valeurs énergétiques.
Quand à la fameuse soupe miso et la salade de choux, bien que riches en sodium, elles constituent des entrées correctes afin de vous apportez de l’eau et des fibres pour bien commencer le repas.
En conclusion, le restaurant japonais a tout bon lorsque les menus à base de poisson sont à l’honneur à condition de prêter attention à la quantité de riz consommée. On choisira au choix un menu chirashi, des sahimis avec un bol de riz, 6 sushis ou 12 makis sans bol de riz et toujours la salade de choux et la soupe miso. Et pour les plus gourmands, vous pouvez ajouter un bol d’édamame, ces fèves nippones riches en protéines végétales aux notes de beurre qui raviront vos papilles et votre estomac !
Note : Les sauces sojas salés et sucrés sont riches en sel qui, consommé en grandes quantités, risque d’augmenter votre tension artérielle. Essayer de vous limiter à une cuillère à café de sauce afin de relever vos plats tout en préservant l’équilibre de votre organisme !